Je n'avais jamais dit je t'aime
JE N'AVAIS JAMAIS DIT JE T'AIME
Je n’avais connu de l’amour
Que des étreintes mensongères
Des joies vécues au jour le jour,
Des amourettes passagères,
Je n’avais jamais dit je t’aime,
On ne me l’avait jamais dit,
Le cœur fermé et sans problèmes,
Je regardais passer ma vie
Et soudain le ciel s’est illuminé,
Soleils et planètes ont tourbillonné,
Et surgissant de n’importe où,
C’était toi, ou toi tout à coup.
Inconnue, je t’ai reconnue,
Je t’avais rêvée tant de fois,
Je désirais tant ta venue
Quand seul dans le noir j’avais froid.
Tu possédais pour tout bagage
Une guitare au chant léger,
Et tu m’emmenais en voyage
Au son de rythmes étrangers
Et soudain le ciel s’est illuminé,Je n’avais connu de l’amour
Que des étreintes mensongères
Des joies vécues au jour le jour,
Des amourettes passagères,
Je n’avais jamais dit je t’aime,
On ne me l’avait jamais dit,
Le cœur fermé et sans problèmes,
Je regardais passer ma vie
Et soudain le ciel s’est illuminé,
Soleils et planètes ont tourbillonné,
Et surgissant de n’importe où,
C’était toi, ou toi tout à coup.
Inconnue, je t’ai reconnue,
Je t’avais rêvée tant de fois,
Je désirais tant ta venue
Quand seul dans le noir j’avais froid.
Tu possédais pour tout bagage
Une guitare au chant léger,
Et tu m’emmenais en voyage
Au son de rythmes étrangers
Soleils et planètes ont tourbillonné,
C’était comme une autre naissance,
Comme une nouvelle existence
Tu chantais des mots de velours,
Des mots qui font naître l’ivresse,
Tu as réinventé l’amour,
J’ai inventé d’autres caresses.
Cœur contre cœur, corps contre corps
Nous nous aimions éperdument
Et nous n’étions plus qu’un accord
Qu’un souffle, qu’un palpitement
Et soudain le ciel s’est illuminé,
Soleils et planètes ont tourbillonné,
C’était comme un embrasement,
Un intense éblouissement
On dit qu’avec le temps tout lasse,
Que tout se meurt, que tout s’efface
Que même le plus tendre amour
Jamais ne rime avec toujours.
Les ans peuvent s’accumuler
Et avec le vent s’envoler,
Je sais qu’au-delà de la mort
Je t’aimerai encore, encore
Je t’aimerai encore, encore…) ad libitum
C’était comme une autre naissance,
Comme une nouvelle existence
Tu chantais des mots de velours,
Des mots qui font naître l’ivresse,
Tu as réinventé l’amour,
J’ai inventé d’autres caresses.
Cœur contre cœur, corps contre corps
Nous nous aimions éperdument
Et nous n’étions plus qu’un accord
Qu’un souffle, qu’un palpitement
Et soudain le ciel s’est illuminé,
Soleils et planètes ont tourbillonné,
C’était comme un embrasement,
Un intense éblouissement
On dit qu’avec le temps tout lasse,
Que tout se meurt, que tout s’efface
Que même le plus tendre amour
Jamais ne rime avec toujours.
Les ans peuvent s’accumuler
Et avec le vent s’envoler,
Je sais qu’au-delà de la mort
Je t’aimerai encore, encore
Je t’aimerai encore, encore…) ad libitum